Rubresus: 20 ans de combats pour l’environnement et les riverains.
A la suite d’un projet de compostage de boues de station d’épuration sur la commune de Salles d’Aude en pleine zone inondable, naissait le 18 mars 1998 l’association Rubresus, du nom du lac rougeâtre qui occupait dans l’Antiquité la plaine narbonnaise. Mobilisant riverains et élus, organisant des réunions d’information et des manifestations, l’association de « protection de basses plaines de l’Aude » rencontrait son premier succès avec le refus d’autorisation du préfet de cette plateforme à forts risques de nuisances olfactives et de pollution.
L’acte fondateur: la mobilisation contre la plateforme de compostage de boues de station d’épuration
Depuis maintenant plus de vingt ans, notre association n’a cessé de se battre contre d’autres pollutions, d’autres nuisances ou encore l’insécurité routière avec une seule ligne de conduite : protéger les riverains et leur environnement en toute indépendance et sans aucun dogmatisme.
Dans chaque dossier, Rubresus a non seulement joué le rôle de lanceur d’alerte grâce à ses analyses techniques étayées mais elle a également été force de proposition. En présentant quand cela était possible des solutions alternatives ou des aménagements, notre association a permis dans de nombreux cas d’éviter le pire ou de trouver des solutions pérennes et responsables.
Retrouvez quelques uns de nos combats ci dessous:
La plateforme de traitement de boues à Salles d’Aude
Le projet éolien des Garrigots à Cuxac d’Aude
Les nuisances sonores liées aux activités de l’aérodrome de Narbonne
Les nuisances et l’insécurité routière à l’Angel (Armissan)
Le projet TDN sur le site Orano Malvési
La menace du gaz radon sur le Narbonnais
La pollution à l’atrazine dans les communes de l’ouest Narbonnais
Le complexe immobilier du Capitoul (Narbonne)
L’usine d’enrobage bitumineux à Ferrals les Corbières
Comme toutes les associations, Rubresus a besoin de vous. N’hésitez pas à nous rejoindre et être à votre tour les acteurs de la protection de votre environnement.
Article du 23 octobre 2018 | Aucun commentaire